Des jeunes volontaires japonais ont effectué samedi dernier une immersion sous les pas au sein de la localité de Kouta Bouya dans la région de Tadjourah. Et ce, rappelons-le, sous les pas des guides du coin. Les visiteurs nippons ont pu par ce biais avoir une meilleure appréhension des besoins les plus pressants des villageois de Kouta Bouya.
Une vingtaine de jeunes volontaires japonais se sont rendus samedi dernier au village de Kouta Bouya dans la région de Tadjourah. Et ce, précisons-le, en compagnie de plusieurs responsables du bureau local de l’agence japonaise de la coopération internationale ou JICA de son acronyme anglais et du président de l’association Djibouti-JICA, Tabarek Mohamed Ismaël.
La sortie n’avait rien de touristique. Elle répondait au souci de ses instigateurs de tisser des liens de confiance entre les habitants de la localité de Kouta Bouya et les volontaires nippons.
Ceux-ci ont effectué une immersion sous les pas de leur mentor Tabarek Mohamed Ismaël et des guides au sein de ce village au nord du pays. Au contact des réalités locales, les jeunes visiteurs ont pu avoir une meilleure appréhension des besoins les plus pressants des villageois de Kouta Bouya.
Avec leur politesse esquisse, ils ont prié les chefs coutumiers d’accepter leurs offres de lots de couvertures pour les enfants en bas âge et de moustiquaires. Un geste noble qui les honore et augure une large implication des volontaires japonais dans l’amélioration des conditions de vie des populations vulnérables sur toute l’étendue du territoire national.